ET REPOSES ENCORE..

Juste un "détail " d'une de mes peintures, et un nouvel album pour commencer l'année.
Peut être plus créative, si j'arrive à construire mon atelier.







Tant c'était si beau, juste avant l'automne
Petit matin d'or sur le brouillard de la vallée
Chaque jour et chaque instant des merveilles

Un ami m'a offert cette phrase magnifiques de balzac
"les gens sont comme des maisons, avec leur cave, leur grenier, leurs murs, et parfois de claires fenètres donnant sur de si beaux jardins"

Vienne le jour ou la légéreté des "murs" de ma cabane, sans cave ni grenier, avec ces grandes fenètres ouvertes sur cet immense et si beau "jardin" soient vraiment  l'image de "l'insoutenable légéreté de l'Etre" de ceux qui l'habitent...
Amen!





Et tant c'est si beau, sous les arbres d'avant l'hiver
La cabane dans les buis et dedant les chènes,
Toute petite, couchée sous les branches.
Tapis de feuilles rousses tout autour
Dans le silence bruissant des bois .
Que c'est léger et quelle paix,
Oh...Quelle paix






Et Lilou la douce dans la corbeille à fruit.:-)




Annhonym

Comments

[nad]

Bonjour daniel...

c'est surtout merci a Jim d'avoir accepté de mettre ici ses peintures...

Oui, tu as raison: cet "orgueil ontologique"dans quelque espace intérieur qu'il se situe alimente l'égo empirique, et il est la base même de "l'égo spirituel".
Cette intuition d'absolu qui nous meut, c'est aussi la focale a travers laquelle nous regardons et interprétons Ce qui ESt.
C'est elle qui conditionne jusqu'a nous expérience, ce que nous regardons dans ce qui se donne a voir, qui lui donne sens. C'est ce qui crée les perspectives et tout ce qui s'en suit de
certitudes,de définitions, de limites et d'exclusions.
Ce petit bout de la lorgnette a la fois si "juste " et si prétentieux qui a crée toutes les religions, toutes les voies spirituelles, toutes les idéologies philosophiques et politiques.
Toutes les représentations, les mystifications et les mythifications.
Les droits et les devoirs, et les moultes morales relatives a leurs systèmes;Au nom de la verité et de l'absolu.
C'est aussi ce qui a sortit l'art de la vie , lui adonné un statu et mis sur une scéne.
C'est pour cela que je crois qu'il peut être fort utile d'en prendre eventuellement conscience; de dé-couvrir ou il gît et agit en soi.
Paradoxalement, c'est aussi une faille, une porte. L'endroit de l'intuition la plus profonde et d'un passage.
Une espèce de "trou de vers" potentiel vers cet "espace de liberté" hors du "moi", et vers la réalisation de l'être. ici et maintenant.

Enfin; C'est comme cela que je le vis. Quand je le vis.:-)

[daniel]

ah ! l'album nouveau de jim est arrivé ! merci nad !

et en plus, les smiley's sont de nouveau de la partie ! belle journée, en vérité ...

et "l'orgueil onthologique" alimente l'égo (empirique) et ou l'égo spirituel !?

hè !

[Annhonym]

Ouuupsss, mon méssagea été coupé en cours...


 L'endroit de cet "orgueil ontologique" ( puisque récupéré par l'égo) c'est a la fois ce qui nous pousse et nous aspire a toujours plus( être, ou avoir) dans le domaine ou il oeuvre. C'est a
la fois l'intuition profonde de notre véritable nature, un appel de l'Etre et le liue d'une aspiration profonde a une réalisation teintée d'absolu. C'est parfois presque inconscient,
mais c'est le lieu d'un rêve, d'une image idéalisé de soi souvent tenue secrète, tant on s'en voit loin.
Certains timides le sont uniquement parce que ils ne se sentent jamais a la hauteur de ce qu'ils voudraient paraitre.
Certains silencieux ne le sont que parce ils se sentent incapable de dire avec la grandeur convaincante qu'il sentent possibles. Certains celibataires ne le sont que parce que leur idéal de
l'amour est trop exigeant et "élevé".Certains refuseront tout pouvoir à défaut d'avoir pu regenr sur le monde.
Cet orgueil ontoloqique, je crois que c'est le reflet dans l'égo, et l'image de soi d'une vocation et spécifique profonde de l'Etre, mais qui demande a être réalisée sur un tout autre plan.
C'est lui qui nous meut, et à a travers lui que nous interagissons avec l'autre et le monde. Toutes nos soufrance les plus profonde naissent de sa frustration.
Tous nos sentiment d'inachevement, d'échec, d'incomplétude, et d'indignité tourent autour de ce noeud là.
Il teinte toute notre vie, et il est couplé à un Désir essentiel autour duquel se tisse et gravite toutes nos émotions, positives ou négatives.

Je crois profondement que tant qu'il n'est pas vu et clairement identifié, il alimente nos ambitions et nos reves, donc nos désillusions et nos déceptions.
Lorsqu'il est vu, soit il est revendiqué dans l'espace du développement personnel et de la réalisation de soi. Soi il est reconnu dans son aspect principiel, comme un Desir de la Vie en nous, a
travers nous, et non pas dans l'expression du moi et du besoin de reconnaissance de l'égo.
Alors on peut lacher ce "détournement de fond" que nous avions fait en nous appropriant ce Désir comme une ambition personnelle.On peut se reconnaitre comme une forme au service de la manifestation
ici et maintenant, de quelque chose de précis.
Sans en faire une affaire ni une réalisation personnelle;Sans attendre ni projeté quoique ce soi sur ce devenir là
parce que ces choses là, si profondes, elles ne nous appartiennent pas, mais nous avons fait des OPA dessus en notre nom propre.
Tu vois, c'est comme ça que je comprends "que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel" des chrétiens.Et aussi la parabole des talents, si tu la connait.

Bien sur c'est juste un point de vue, mais lorsqu'on fait le lein entre nos pelotes émmotionnelles et cet espace secret en nous, cela aporte un autre éclairage dessus.
Cela a été le cas pour moi.
J'ai "vu" lors de ma NDE d'ou venait cette "ambition" ce réve de petite fille ( j'avais fait des expériences tres tôt, ce qui n'a pas arrangé mon cas..), et comment mon "équation énergétique"
c'était cristalisée autour de ce Sens là: le sens de ma vie, si on peut dire cela.
Alors orgueil, oui, et ambition personnelle aussi tant que l'image de soi et l'égo se construisent dessus.Et pourtant dérriere cela, c'est une Aspiration essentielle, qui nous tire et nous
pousse dans et à travers la vie.
C'est a cause d'elle que nous sommes là.
Mais c'est un Désir qui nous dépasse. Un Désir ontologique qui s'expriem atrave(rs nous et qui nous dépasse totalement, du même ordre que celui même qui a été a la source de la manifestation elle
même.
Il n'est pas là pour notre réalisation, c'est nous qui sommes là pour la sienne.
Et ça change tout.
Rendre a César ce qui est a César, a "Dieu" ce qui est a "Dieu" et Etre avec cela.
Apres tout, le Rève de la vie, ce n'est pas le notre, et il n'accepte pas que nous quittions la scéne!
Accepter de jouer sa partition jusqu'au tomber du rideau, mais sans identification,sans but , sans attente.
Juste parce qu'on a Vu ça...

Enfin, c'est comme cela que c'est pour moi.
C'est juste un point de vue, bien sur.

Et pardon, je me suis laissé e emportée plus long et plus loinque ce que le premire messaga avait coupé.:-(

A toi, Jim.

[Jim]

Précision immédiate:

"Drôle de relation que l'on engage là Muscho. Limite sado-maso!
Tu as plaisir à me demander quelque chose que tu sais m'être horriblement difficile voire douloureux et que tu expérimentes toi-même comme tel.. :)
sado maso? Meeuuh non, Jimmy..:-) Juste du dépassemnt de nos limites!pou t'aider tres tres gentimment a te colleter a ce "quelque chose qui ne veut pas céder" On s'aide à
ceder , quoi...Non?"

Il s'agissait de la difficulté technique(difficile et douloureux) à envoyer les photos sur ta messagerie. Ca se voulait être de l'humour...Pour le reste, je crois que j'ai bien compris,
sois-en sure.

Je vais relire ton précédent message.

"On s'aide à céder" Oui, et rares sont les gens de qui on (j' ?) accepte (de) l'aide, là encore, il y a vraiment un truc avec la confiance. C'est comme si on avait cédé avant de s'aider,
bizarre, non? Il y a une sorte de reconnaissance préalable qui pousse à déblayer ce qui voile et qui semble être un détail.En gardant les pieds sur terre,(c'est loin d'être ma spécialité...)on
s'aperçoit que c'est tout sauf un détail, mais on voudrait bien quand même que ça n'en soi qu'un. En fait, c'est une question de forme, et la forme, c'est à dire la forme que l'on a, doit
impérativement s'harmoniser avec le fond commun que nous sommes, sans quoi, c'est comme mort avant terme.Je vois là que c'est plus qu'important  que d'harmoniser la forme, ce n'est
pas un détail.

Je retourne à ton message. As-tu des ciels de mars chez toi, mi gris foncé, mi argenté avec des trouées lumineuses époustouflantes?

[Annhonym]

Drôle de relation que l'on engage là Muscho. Limite sado-maso!
Tu as plaisir à me demander quelque chose que tu sais m'être horriblement difficile voire douloureux et que tu expérimentes toi-même comme tel.. :)
sado maso? Meeuuh non, Jimmy..:-) Juste du dépassemnt de nos limites!pou t'aider tres tres gentimment a te colleter a ce "quelque chose qui ne veut pas céder" On s'aide à
ceder , quoi...Non?

Impossible d'utiliser les smileys. C'est pareil pour toi ou ça tient à ma connexion?Oui j'ai des problèmes aussi, cela doit être le blog. c'est pour ça que je mets les :-)

J'en ai profité pour relire mon message et ,en dehors des fautes d'ortographe, il y a une phrase qui est totalement incompréhensible, je recommence:" certaines choses dans ma vie, se sont
arretées de cette façon là, quand c'était enfin possible. Aussitôt, il fallait à nouveau se colleter à quelque chose d'impossible."et j'ajoute: il y a bien là quelque chose qui ne veut pas
cèder...pas bien sorcier de deviner quoi.
Je venais juste de te demander quoi, et voilà la réponse;-)

Bon, je fais de mon mieux pour t'envoyer ça.

merci, Jim.:-) et pardon pour le redoublement de la demande: je croyais que le post n'était pas passé